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Guide de la technologie en classe

Même si elle n’a pas toujours été très bien accueillie, la technologie fait partie intégrante de nos salles de classe. Découvrons ensemble sa relation mouvementée avec le monde de l’éducation puis jetons un œil sur les dernières innovations apparues ces dernières années, des ordinateurs aux smartphones en passant par les tableaux interactifs. Enfin, passons en revue les pour et les contre de l’Edtech, même si vous ne tarderez pas à remarquer que les avantages l’emportent largement sur les inconvénients. Pour terminer, nous vous donnerons quelques clés pour intégrer la technologie dans vos propres salles de classes.

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Technologie a toujours rimé avec salle de classe, des livres aux tablettes en passant par les ardoises et les tableaux interactifs. Les enseignants ont toujours su tirer en tirer le meilleur pour le bien de leurs élèves.

Et si la technologie se développe en permanence, certaines choses semblent immuables. Les professeurs enseignent, les étudiants apprennent, et tout le monde doute des bienfaits que peuvent apporter les des dernières innovations à l’éducation. Mais pas d’inquiétudes ! Nous vous avons préparé un petit guide pour vous permettre de mieux comprendre comment la technologie s’intègre à la salle de classe du 21ème siècle.

Court historique de la technologie dans les salles de classe

La relation entre technologie et éducation a toujours été mouvementée.

Il y a bien longtemps, le seul moyen d’enregistrer des informations était d’utiliser sa mémoire. Les élèves devaient apprendre par cœur les leçons dispensées par leurs ainés. Les savants se lançaient dans de longues diatribes que les étudiants devaient s’efforcer de retenir. Les savoir étaient principalement transmis par le biais d’une tradition orale faite de chants, d’histoires et de récitations. C’est là le niveau zéro de la technologie dans l’éducation.

Puis l’écriture a fait son apparition. C’est là le premier pas vers l’externalisation de la mémoire puisqu’elle permet de laisser une trace permanente d’une information et de la partager avec d’autres sans avoir à être présent physiquement. L’écriture, avancée majeure pour le partage des connaissances et la transmission des informations, fût loin de faire l’unanimité…

Socrates fut l’un des critiques les plus virulents à l’encontre des livres (et de l’écriture de manière générale), qu’il assimilait à la paresse intellectuelle qui « produira l’oubli dans l’âme de ceux qui l’auront appris, parce qu’ils cesseront d’exercer leur mémoire ». L’ironie de cette fameuse leçon faite à Platon, c’est que nous la connaissons aujourd’hui car Platon l’a lui-même couchée par écrit.

C’est ainsi que commença la longue histoire des aînés refusant d’intégrer la technologie dans l’éducation. A chaque nouvelle innovation introduite dans les écoles, c’est la même chose : l’ancienne garde s’y oppose inévitablement. Mais elle est toujours rattrapée par la jeune génération, qui expérimente de nouvelles choses, trouve celles qui fonctionnent et les implémente à ses méthodes jusqu’à ce que la prochaine nouveauté apparaisse.

  • Fin du XVIIIème siècle : l’ardoise fournit un support d’écriture portatif et réutilisable aux élèves
  • Fin du XIXème siècle : le tableau noir fait son apparition dans les classes françaises
  • 1900 : la production massive de crayons et de papier permet aux élèves de prendre des notes à moindre frais
  • Années 1920 : le développement de la radio permet la retransmission des premières leçons
  • Années 1930 : adoption du rétroprojecteur diascope
  • 1951 : la bande vidéo permet de combiner audio et vidéo sur un même support
  • 1959 : l’arrivée des photocopieurs permet la diffusion rapide de matériel pédagogique dans les écoles
  • Années 1980 : l’ordinateur se démocratise et devient accessible au consommateur moyen
  • 1990 : internet fait son apparition, révolutionnant l’accès à l’information
  • 1991 : les premiers tableaux interactifs débarquent sur le marché
  • 2005 : les plateformes d’apprentissage en ligne prennent de l’ampleur
  • 2010 : l’IPad popularise la tablette tactile auprès du grand public

Pour un aperçu plus détaillé du développement de la technologie dans la salle de classe, jetez donc un œil à cette présentation (en anglais).

Les différentes technologies de la salle de classe

Bien que l’histoire de l’EdTech soit passionnante, ce n’est pas elle qui va aider vos élèves. Quelles technologies trouve-t-on aujourd’hui dans les salles de classe ? Quelle est leur valeur pédagogique ?

Les ordinateurs

Les ordinateurs, portables ou fixes, se sont fait une place dans la classe moderne. Dans l’enseignement supérieur on en distribue même aux étudiants. Dans le cadre des cours, ils sont alors principalement utilisés pour la prise de notes, la rédaction de devoirs ou la recherche d’informations. En fonction du matériel mis à disposition, ils peuvent aussi permettre d’ajouter des contenus multimédias aux leçons, de ludifier les cours, voire d’interagir avec le reste de la classe.

Mais si les ordinateurs ont leur place dans les salles de classe, on leur reconnaitra également certaines limites. Par exemple, des recherches suggèrent que la prise de notes à la main serait en réalité plus efficace que celle dactylographiée, surtout en ce qui concerne la mémorisation. De plus, l’ordinateur propose aussi un grand nombre de distraction à portée de clics, même si dans l’absolu tout peut devenir une source de distraction pour un étudiant qui s’ennuie.

Malgré quelques inconvénients, les ordinateurs font aujourd’hui bel et bien partie des indispensables de la salle de classe, aussi bien du côté des professeurs que de celui des élèves.

Les vidéoprojecteurs

Les projecteurs, peu importe la technologie employée, sont utilisés dans les salles de classe depuis maintenant plus de 100 ans. Les vidéoprojecteurs équipant les classes aujourd’hui n’ont cependant plus grand-chose à voir avec leurs ancêtres.

Dans la salle de classe, le rétroprojecteur sert principalement d’affichage, même si certains proposent aussi des fonctionnalités interactives (cf. partie suivante). Et comme le contenu à projeter doit venir de quelque part, la plupart des projecteurs doivent être branchés à un ordinateur ou un autre appareil. Même les projecteurs connectés ne peuvent pas grand-chose s’ils ne retransmettent pas le contenu d’un autre appareil.

Les rétroprojecteurs font aujourd’hui partie de l’équipement standard de toute salle de classe. Ils sont relativement simples à utiliser, plutôt bon marché et permettent de projeter des contenus sur des surfaces très étendues. Avec l’avènement des rétroprojecteurs sans lampe, les besoins de maintenances ont été grandement réduits et on constate qu’il y a moins de problèmes de calibration que sur les anciens modèles. On notera cependant quelques interférences avec les ombres, un éblouissement parfois excessif ou une luminosité trop basse dans les salles bien éclairées.

Votre classe pourrait avoir besoins d’un rétroprojecteur ? Jetez donc un œil à notre guide !

Les tableaux blancs interactifs

Les tableaux blancs interactifs (TBI) portent aussi parfois le nom d’écran interactif ou de tableau numérique. Pour faire simple, il remplace le tableau traditionnel, noir ou blanc, par un grand écran interactif numérisant l’ensemble des contenus du cours. Sous cette dénomination on retrouvera donc aussi bien des dispositifs basés sur un vidéoprojecteur interactif (comme ceux-ci) que des écrans interactifs (comme le ViewBoard).

Grâce à leur polyvalence, ces solutions sont de plus en plus populaires, en particulier les tableaux numériques. Cette technologie allie le meilleur du tactile et du multimédia aux fonctions classiques du tableau traditionnel. Un enseignant peut ainsi montrer une vidéo, effectuer une recherche internet, annoter du contenu et même interagir avec les étudiants via leurs propres appareils connectés.

Mais malgré des fonctionnalités toujours plus nombreuses, il reste toujours un certain nombre de défis à surmonter. Les TBI sont en effet plus chers que les tableaux traditionnels et nécessitent de s’investir un peu plus pour produire du contenu adapté au médium. C’est toutefois le cas de toutes les nouvelles technologies, mais plus elles gagnent en popularité, plus elles deviennent accessibles.

Les tablettes

Plus mobiles que les ordinateurs portables, les tablettes semblent avoir été créées pour l’enseignement. Ce sont des outils de recherche puissants qui peuvent aujourd’hui servir d’alternative aux lourds et onéreux manuels. Leur écran tactile permet aussi une interaction plus intuitive avec les différents contenus que le clavier ou la souris.

Elles ne sont certes pas aussi polyvalentes que les ordinateurs, mais il ne faut pas forcément y voir un inconvénient. Des fonctions plus limitées, ça veut aussi dire moins de sources de distraction. Les étudiants admettent toutefois plus facilement dévier de leur occupation principale lorsqu’ils utilisent une tablette qu’un ebook. Et il ne faut pas non plus minimiser l’importance des livres papier dans le développement des jeunes lecteurs.

Les smartphones

On néglige souvent les smartphones dans l’EdTech car ils sont trop fréquemment une source de distraction dans le contexte scolaire. Ils ont pourtant beaucoup de potentiel en tant qu’outil pédagogique.

Dans leur usage le plus simple, ils constituent un point de contact avec le reste de leur classe et de l’équipe éducative, de même qu’un support de recherche grâce à leur connexion internet. Ils proposent aussi une myriade d’applications éducative, comme Duoligo pour l’apprentissage autonome des langues, ou Kahoot! pour les activités de groupe. Vous pourrez aussi compter sur de très nombreuses applications facilitant la création de contenus. Il est d’ailleurs fort probable que vos élèves soient déjà adeptes de ces dernières.

Si la distraction causée par les téléphones est un réel problème chez les élèves, peu importe leur âge, tout n’est pas non plus à jeter. Le smartphone peut aussi être une technologie bénéfique dans la classe, à condition qu’elle soit utilisée à bon escient.

5 avantages de l’EdTech

La technologie offre de très nombreux avantages, et voici quelques arguments pour plaider en sa faveur :

  • Améliore l’implication des élèves et la mémorisation des cours. Le numérique dans la classe permet d’utiliser de nouveaux médias qui étaient jusqu’à lors non exploitables. Les contenus pédagogiques numériques ont un potentiel d’interaction bien plus grand que les contenus analogiques.
  • Répond au besoin de tous les styles d’apprentissage. L’EdTech permet de s’adapter aux attentes de chaque élève. Qui plus est, elle peut aussi répondre aux besoins plus spécifiques des étudiants en situation de handicap.
  • Promeut la collaboration. Une des caractéristiques propre à la technologie, c’est de faciliter la collaboration lors des projets, le partage d’information et l’assimilation de connaissances. L’EdTech place la contribution des élèves au cœur des enjeux de la classe.
  • Retours instantanés. Les outils permettant aux élèves d’échanger entre eux leurs permettent aussi d’échanger directement avec leurs professeurs. Ceux-ci reçoivent ainsi instantanément les retours de la classe, qu’il s’agisse de réponses, de questions ou de suggestions.
  • Prépare les élèves pour le futur. La technologie -et en particulier le numérique- est de plus en plus présente dans nos vies. Être capable de comprendre et d’utiliser les nouveaux outils bénéficiera aux élèves dans la suite de leur parcours, qu’il soit académique ou professionnel.

5 défis pour l’EdTech

Il serait malhonnête d’affirmer que la technologie ne comporte pas sa part d’inconvénients, voire de dangers. Cependant, le jeu en vaut la chandelle. Et comme il n’y a pas de système parfait, mieux vaut être au courant des quelques un des problèmes auxquels vous pourriez faire face afin de mieux les anticiper.

  • Distrait les élèves. Les téléphones ont très mauvaise réputation dans les écoles, la plupart d’entre elles choisissent même de les interdire. Cela dessert parfois les élèves, et il est un peu dommage qu’on ne mette pas plus souvent à profit le potentiel de ces ordinateurs de poche.
  • Besoins de gestion accrus. On pense souvent que la technologie dans la classe requiert l’assistance d’administrateurs réseaux spécialisés. En réalité une seule et unique personne pourra s’occuper de toute la maintenance à distance.
  • Renforce les inégalités. Le fait d’utiliser ses propres appareils peut renforcer les inégalités entre élèves. Toutefois, les écoles peuvent aussi faire l’effort de fournir et contrôler un équipement standardisé aux élèves, par le biais d’une salle info par exemple.
  • Coûts supplémentaires. Rien n’est gratuit, et c’est particulièrement vrai quand on installe de l’électronique dans une classe. Lors de la modernisation d’une salle, il faudra bien évidemment satisfaire un budget. Mais ce que celui-ci prend rarement en compte, c’est le coût global à long terme, qui sera grandement réduit en investissant dans du matériel ayant une durée de vie plus longue et nécessitant moins d’entretien.
  • Moins d’interactions directes. Les nouvelles technologies semblent déconnecter les gens de la réalité qui les entoure. Plutôt que de communiquer directement, beaucoup choisissent de passer par leurs smartphones. Mais la technologie peut aussi favoriser les échanges entre personnes ! Par exemple en faisant d’elle un outil (et non une fin) lors des activités collaboratives. De même, n’hésitez pas à revenir aux basiques, remisez la tout simplement lorsque celle-ci n’apporte rien.

Technology in the Classroom - students using tech

Implémenter la technologie en milieu scolaire

Vous avez décidé se sauter le pas et de faire rentrer la technologie dans votre classe (ou de moderniser vos solutions). C’est la première étape. Qu’est-ce qui vient ensuite ? Vous devrez l’implémenter, ou trouver quelqu’un qui s’en chargera pour vous.

Voici quelques petits détails à garder en tête lorsque vous souhaitez moderniser les équipements électroniques de votre classe.

Connectivité

Nous vivons dans un monde connecté. Lors de vos recherches, faites bien attention à la compatibilité du matériel avec celui déjà installé dans votre classe. Assurez-vous que celui-ci puisse se connecter à votre réseau, car sans connectivité vous passerez à côté de tout ce qui fait le sel de l’EdTech : économies, partage et collaboration.

  • Comment le matériel sera connecté à votre réseau ? Par câbles ? Sans fil ?
  • Quelles possibilités de connectivité sans fil offre-t-il ? Bluetooth ? Wifi ? Infrarouge ?
  • Quelle connectique est disponible ? HDMI ? DisplayPort ? USB-C ? Thunderbolt ?

Intégration

Votre nouveau matériel devra certes pouvoir se connecter au réseau de l’école, mais il faudra aussi vous assurer qu’il puisse se connecter aux autres appareils. Dans une classe, il faut que vos élèves puissent participer, peu importe le dispositif ou système qu’ils utilisent.

  • Quel système d’exploitation utilise votre matériel ? Windows ? IOS ? Autres ?
  • Comment allez-vous partager les contenus pédagogiques avec vos étudiants ? E-mail ? Liens de téléchargement ? Transfert de fichiers ?
  • Le dispositif peut-il sauvegarder dans le cloud ? localement ?

Technology in the Classroom - support staff

Assistance technique

Si les utilisateurs doivent absolument être formés à l’utilisation du matériel qu’ils utilisent, il serait déraisonnable d’attendre d’eux qu’ils soient en mesure de pouvoir le réparer en cas de problème. La maintenance requiert généralement du personnel spécialisé. Mais, à moins que vous prévoyiez d’engager un nouvel informaticien dédié à cette tâche, vous devrez compter sur les capacités de votre équipe.

Peu importe le matériel que vous implémenterez dans votre classe, assurez vous que votre équipe actuelle puisse prendre en charge l’assistance technique. Cela inclut l’installation et la maintenance du dispositif.

  • Disposez-vous déjà, dans votre équipe, d’une personne capable d’assurer l’assistance technique pour ce matériel ?
  • La solution que vous choisirez inclut-elle une formation pour le personnel informatique ?
  • Le dispositif est-il simple d’utilisation pour l’utilisateur ? (cela réduira les besoins d’assistance)

Coût global de possession

Le coût global de possession correspond au coût total d’un bien ou d’un service depuis son acquisition jusqu’à l’arrêt de son utilisation. Celui-ci prend aussi en compte les faux-frais comme les maintenances, réparations, les services annexes et même de la consommation électrique.

En effet, même les produits les moins chers à l’achat peuvent s’avérer onéreux sur le long terme. Prenons un exemple qui parlera à tout le monde. Les imprimantes sont relativement bon marché. Mais changer une cartouche d’encre coûte souvent tellement cher qu’il est parfois plus économique d’acheter une nouvelle imprimante.

Il est tout à fait possible qu’une solution au départ plus onéreuse se révèle, à long terme, économique pour votre école. Avant de vous décider pour une solution, matérielle ou logicielle, posez-vous ces quelques questions :

  • Combien coûte l’assistance technique ? Une hotline gratuite est-elle incluse ? Pouvez-vous effectuer les réparations vous-même ? Devrez vous passer par du personnel agréé ?
  • Quelle est la durée de vie du produit ? Quelle est la durée de vie des pièces de rechange ?
  • Y a-t-il un système de souscription prenant en charge les pièces de rechange et les services additionnels ? Est-il plus rentable de payer au mois, à l’année ou de souscrire à vie ?

Arrangement de la salle

L’arrangement de la salle de classe est un facteur essentiel à prendre en compte lorsqu’on souhaite la moderniser. Dans la plupart des écoles érigées au cours du siècle dernier, on a prévu un espace à l’avant de chaque classe pour y installer un tableau. Un tableau interactif n’aura donc aucun mal à s’intégrer dans l’arrangement actuel.

Dans le cas des amphis, toutefois, un grand écran interactif comme le ViewBoard ne sera probablement pas la solution la plus adaptée pour s’adresser aux étudiants. Un vidéoprojecteur, bien qu’il ne soit pas aussi interactif ou innovant, est généralement une meilleure option pour ce genre de grandes salles.

Voici quelques points à prendre en compte avant de prendre votre décision :

  • Quelle taille fait la pièce ? Quelle solution d’affichage sera la plus adaptée pour s’adresser à toute la classe.
  • Qui utilisera le dispositif ? Seulement l’enseignant ? Les élèves aussi ?
  • Le dispositif sera-t-il utilisé dans une seule ou dans plusieurs classes ? Est-il facilement déplaçable.

Conclusion

Si la technologie ne remplacera jamais les professeurs, il est important de ne pas louper le coche afin de préparer au mieux le futur, indubitablement numérique, des générations à venir. Comme à chaque fois qu’une nouvelle innovation fait son apparition dans le monde de l’éducation, on doit d’abord faire face à une levée massive de boucliers. Et ces inquiétudes sont tout à fait légitimes, car il reste encore bien des challenges à surmonter pour pouvoir faire une véritable place à la technologie dans nos méthodes d’enseignement.

Mais le jeu en vaut la chandelle ! Les solutions technologiques résolvent bien plus de problèmes qu’elles n’en créent. Entre l’amélioration de la participation et de l’intérêt des élèves, et la promesse de les préparer à un futur toujours plus connecté, nul doute que toujours plus d’écoles ouvriront leurs portes à l’EdTech dans les années à venir.

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